Ulrich Acolas, basse

Acolas_01Ulrich Acolas découvre son amour pour le chant pendant ses études musicales et de Pédagogie culturelle à l’Université de Hildesheim (D). Il les termine avec mention « très bien ».

Il se perfectionne auprès de professeurs de chant tels que Prof. Jörg Straube, Hanovre et Wuerzbourg (D), Francis Jeser au Conservatoire National de Mulhouse (F) et poursuit son travail vocal avec Christian Immler (Fribourg, CH) .

Ulrich Acolas était et est membre de différents chœurs et ensembles professionnels, entre autres : Norddeutscher Figuralchor (Prof. Jörg Straube, Hanovre, D), Chœur de Chambre de Strasbourg (Catherine Bolzinger, Strasbourg, F), Ensemble Corund (Stephen Smith, Lucerne, CH), Basler Madrigalisten (Fritz Näf, Bâle, CH), Basler Vokalsolisten (Sebastian Goll, CH), Schweizer Kammerchor (Fritz Näf, Zurich, CH), Zürcher Sing-Akademie (Tim Brown, Zurich, CH), Académie vocale de Suisse romande (Dominique Tille et Renaud Bouvier, Lausanne, CH).

Ces collaborations, en particulier pendant plusieurs années avec le Schweizer Kammerchor, lui ont permit de chanter avec des orchestres et des chefs de renommée internationale, tel que Sir Simon Rattle (Orchestres symphonique de Vienne et de Berlin), Valery Gergiev (Marinskii Orchestra), Claudio Abbado (Lucerne Festival Orchestra), Mariss Jansons, Ivor Bolton, Tõnu Kaljuste, Eric Ericson, Ton Koopman, Kurt Masur, Wolfgang Sawallisch, Armin Jordan, Gennady Rozhdestvensky (tous avec l’Orchestre de la Tonhalle de Zurich), Charles Dutoit (NHK Tokio, Orchestre de la Suisse Romande), Simon Halsey (Rundfunkchor Berlin), Marek Janowski (OSR), Sir Colin Davis (Orchestre philharmonique de Londres).

En plus de ces riches activités, Ulrich Acolas se produit également comme soliste en Suisse comme à l’étranger. Son répertoire contient, entre autres, les « Requiem » de Gabriel Fauré, Johannes Brahms et Wolfgang Amadeus Mozart, « La Création » de Joseph Haydn ou des œuvres qui figurent rarement sur les calendriers comme « Noye’s Fludd » de Benjamin Britten ou « Abu Hassan » de Carl Maria von Weber.